LE MARAIS VERNIER – La belle longère

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Le Marais Vernier : la belle longère

La longère de Laure et Damien, au printemps, déménage au Japon. Au cœur du Marais Vernier, cette jolie chaumière trône au milieu des fleurs de cerisier.

Le Marais Vernier est né d’un méandre que la Seine (Oh ! la paresseuse !) a abandonné il y a des milliers d’années, créant ainsi une vaste zone humide, en forme d’amphithéâtre naturel, protégée de roselières et de prairies marécageuses. L’écosystème y est extrêmement développé aussi bien au niveau de la flore que de la faune. Le marais est aussi un important couloir de migration des oiseaux. Vous pourrez donc apercevoir des cigognes en plein vol mais aussi entendre les grenouilles coasser, caresser et humer des herbes que vous ne connaissez pas.

Les chaumières s’étagent sur le coteau entourées de vergers. Depuis leurs fenêtres, les habitants du Marais contemplent les courtils finement « laniérés ». A partir du XVIIe siècle, ces parcelles tout en longueur témoignent d’une répartition équitable des terrains entre les habitants du Marais. Les courtils sont délimités par un réseau de fossés bordés de saules têtards et d’aulnes, deux arbres emblématiques des zones humides.

Quand à la faune… Imaginez ! vous possédez, une cigogne de compagnie (ou une cigogne de compagnie vous possède), elle sera ravie de vous servir de parasol par grand soleil grâce à ses immenses ailes. Il se met à pleuvoir, elle se fait parapluie. Elle vous permet de vous réchauffer quand elle vous prend dans ses bras avec ses plumes toutes douces, c’est comme si vous retombiez en enfance. On peut rêver… A défaut de posséder une cigogne, vous pouvez accrocher notre affiche chez vous et vous offrir un échassier à bec rouge en vol dans votre salon.

Avis aux passionnés de la Nature, il existe un chemin de randonnée, à parcourir à pied ou à vélo : La Route des Chaumières, des maisons emblématiques du Marais Vernier, à déguster ! Elle est accessible à tous.

Faites attention cependant de ne pas croiser de dahus, reconnaissables à leurs pattes latérales gauches plus courtes que celles de droite. ils peuvent être agressif quand ils sont affamés.

« Alors? Qu’est ce que tu attends? »

« Je préférerais avoir l’affiche pour admirer ce paysage, la marche à pied cerné par les dahus affamés, ce n’est pas trop pour moi… »